Hier soir, j’étais devant ma télé pour regarder Sharknado 2. Oui, Sharknado 2. Vous avez du vous en rendre compte, je ne parle pas trop trop ciné ici… Je ne suis pas exactement une cinéphile avertie, plutôt versée du côté des séries. Mais si il y a un truc que j’aime bien, c’est tomber sur un bon film ou télé-film catastophe / de série B / de m*** (choisissez votre adjectif). Inutile de vous dire que depuis que j’ai découvert Syfy, toutes les occasions sont bonnes pour zapper sur la chaine et m’abrutir quelques minutes devant le film du soir (mal doublé si possible, c’est meilleur comme ça). Détente détente, ok ? 😉 (et live-tweet souvent, ça va avec, c’est mon petit plaisir que voulez-vous ?).
Alors, la mode est aux requins pour les films de ce genre. Pourquoi ? Mystère et boules de gomme. Est-ce le premier Sharknado qui a lancé ça ? Ou l’un de mes préférés, Mega shark contre Crocosaurus (ou contre The giant Octopus, pas mal du tout celui-là aussi), que je vous recommande fortement ? Quoi qu’il en soit, dès que vous mettez Syfy = REQUINS. Mais des requins funs, rassurez-vous. Pas le genre de méchants requins qui vous traumatisent (coucou Les dents de la mer, je vous déteste), non, le genre qui vous fait marrer. Non mais parce que généralement, le niveau des effets spéciaux est à la hauteur de l’ambition du film. Bas. Très bas. Si vous aimez Faux raccords, vous allez adorer 😉 Et si vous avez une ambition d’acteur frustré, de quoi vous rassurez : tout est toujours possible, tentez votre chance !
Bon, Sharknado 2 alors ? Déjà, explication scientifique (c’est sérieux) : un Sharknado, c’est une tempête qui aspire l’eau de la mer, et les requins avec. Oui, les requins vivent dans la tempête, quelquechose à y redire ? Donc forcément, c’est dangereux. Surtout que je ne pensais pas que les eaux américaines pouvaient être à ce point infestées de requins. Bref, après avoir affronté un Sharknado en Californie, nos héros vont à New-York. Attention, niveau héros, il y a du lourd. Déjà, Ian Ziering, dont le nom ne vous dira rien mais quand vous le verrez à l’écran vous comprendrez (« mais c’est pas le gars de Berverly Hills ??? ». Et si. « Mais il a fait quoi depuis ??? ». Rien, c’est pour ça qu’il est dans Sharknado, faut bien bouffer). Et ensuite, attention, roulement de tambours : Tara Reid ! American Pie les amis ! De retour blindée de botox et silicone, on ne peut pas dire que son jeu d’actrice en sorte amélioré 😉 Je vous laisse avec la bande-annonce… Enjoy.
Alors, alors, alors ? Je vous spoile un peu le truc, mais ce n’est pas grave (vous vous en remettrez, promis, ce n’est pas l’intrigue qui fait la force de Sharknado 2 😉 ). On commence donc par une attaque de requins sur l’avion qui arrive à New-York. Dans les airs donc. Avec dépressurisation de la cabine et tout, requins qui se baladent dans les couloirs et bouffent les hôtesses, mais rassurez-vous certains s’en sortent, dont les héros. Ce n’est que le début du grand n’importe quoi, parce que ces requins sont ULTRA résistants. A noter une légère amélioration des effets spéciaux par rapport au premier opus, on sent que le succès a été au rendez-vous et qu’Asylum, la boite de prod, se fait bien des pépètes sur le concept 😉
Bilan ? Génial bien entendu ! C’est n’importe quoi, c’est ultra-jouissif, et suivre le live-tweet déjanté qui se fait en parallèle c’est un vrai plaisir 😉 J’aurais bien aimé faire parti des chanceux qui ont eu l’occas d’assister à une projection spéciale au MK2 Quai de Loire… l’ambiance avait l’air au top ! Entre amateurs de nanars, forcément… 😉
Vous faisiez parti des amateurs devant Syfy pour mater Sharknado 2 ? Avis aux amateurs : un Sharknado 3 est en préparation ! Vivement 2015 !
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Le nez dans les bouquins, le cœur dans les musées, les jambes à l'assaut du patrimoine et l'esprit en voyage ! Je partage avec vous mes découvertes culturelles du moment, diverses et variées, sans prise de tête. Éclectisme, je crie ton nom !
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