Dans les grandes recommandations qu’on me faisait à propos de Stephen King, Cujo revenait vraiment très souvent. Paru en 1981, il fait partie des grands classiques du maître de l’horreur ! Je vous préviens avant la lecture de cet article : je “dévoile” une petite particularité de Cujo. Même si ça n’en dit pas tant que ça, vous continuez donc en connaissance de cause.
Cujo, ou l’histoire d’un chien
Cujo c’est effectivement l’histoire d’un chien. Et même d’un bon gros chien. Cujo, un énorme Saint-Bernard. Un bon pépère, le meilleur ami du jeune Brett Camper depuis ses 10 ans. Un repère incontournable dans la vie de ce garçon qui subit une vie familiale complexe avec sa mère, sous la coupe d’un père avec qui il ne fait pas bon rire. Et puis un jour, Cujo court après un lapin qui dégringole dans une petite cavité souterraine peuplée de chauve-souris…
Dans la même ville de Castle Rock, ce n’est pas la joie non plus pour la famille Trenton. Les parents se disputent. Le fils, Tad, 5 ans, fait des cauchemars. Il est persuadé qu’un monstre terrifiant se cache sous son lit. Et un jour, Tad rencontre Cujo. Ce que lui et sa maman Donna vont vivre avec lui, ça… C’est ce que vous découvrirez en lisant Cujo.
De l’effroi à l’état brut
Clairement, Cujo est un livre qui fait peur. Vraiment vraiment peur. Une peur qui vous prends aux tripes. Pour autant – et c’est là la petite “révélation”- , Stephen King ne fait pas appel au fantastique cette fois-ci pour susciter cette réaction. Si j’ai pu atteindre le point de basculement à un moment donné, que l’auteur a fait subtilement miroiter à certains moments, il n’est pas arrivé… Ce qui a rendu ma lecture d’autant plus captivante et, je dois bien dire, dérangeante aussi. La fin notamment m’a clairement retourné !
Ce qui m’a le moins plu dans ce roman ? Et bien, c’est que c’est l’histoire d’un chien… Je n’adore pas trop les chiens, je suis une cat person. En toute “logique” je préfère un chat surnaturel à la Simetierre (mon préféré <3 avec Misery, ok ok, mais l n’y a pas d’animaux dans Misery ^^) à un chien juste dingue. Ou alors le côté terriblement possible d’être face à un chien malade me terrifie plus que je ne veux bien l’admettre ? Fort possible… C’est une lecture que j’ai trouvé difficile car si réelle dans son approche que j’en ai eu la nausée parfois. Fort.
Vous avez lu Cujo ? Qu’est-ce que vous avez pensé de cette veine “terrifiante mais pas fantastique” ?
Qui a écrit cet article ?
Le nez dans les bouquins, le cœur dans les musées, les jambes à l'assaut du patrimoine et l'esprit en voyage ! Je partage avec vous mes découvertes culturelles du moment, diverses et variées, sans prise de tête. Éclectisme, je crie ton nom !
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6 comments
Pas d’animaux dans Misery ? Et la truie du même nom, peut être ? Bon ok, rien à voir avec le type d’animal croisé dans Cujo et Simetierre… Mais Misery est quand même un animal 😉
Disons qu’elle n’est pas un sujet d’envergure du roman ^^
RECTIFICATION: voici le texte en entier. Sorry.
Mais erreur de manip.
Désolé, mais comme il ne se passe strictement RIEN les 150 premiéres pages, Cujo m’est tombé des mains! J’ai repris ce texte 3×; toujours pareil! Ceci est mon humble avis de lecteur! Autre petite remarque:
Il existe 1 livre des éditions Le Masque dont le sujet est simillaire à celui de Symmetere, plus cour, donc l’histoire est plus frappante car pas tirée en longueur livre dont j’ai oublié le titre est écrit par un auteur français, et parle également de ce fameux vent dont parle Symmetere de S.King.
A propos de moi, je possédais 30 volumes de la Grande Anthologie de la S.F. que J’ai lus au moins 8× chaque.
J’ai “libérés” une centaine de livres pour qu’ils volent de lectrice en lecteur…
Pas mal des fameuses Noire/ Carré noir…
Trouvaille en poche: 2 romans de Tonny Hillerman; Le génial “La nuit du Jabberwock”
trouvé neuf à prix “Coccinelle”. CE roman est un polar pas trop sombre qui se passe pas tirés loin de Léwis Caroll!!
Le héros, journaliste fait-diversier trouve d’ailleurs sur une table un flacon muni de l’étiquette Bois moi…
29 volumes de la collection ” Les grands maîtres du roman policier” des Editions de Saint-Clair; diffusion François de Beauval-dépôt légal: 3e trimestre 1975; achetés d’occasion!
Autre livres de Frédéric Brown que je conseillerais La fille de nulle part, et pour les ados voir dès 10 ans: Martiens go home!
Un dernier mot, pour conclure: mon père m’a payé ma 1e carte de lecteur à l’âge de 7 ou 8 ans. Dire que près d’un demi-siècle à passé depuis. Merçi de le lire.
Vieux Zède étant mon surnom actuel.
DOUBLON? NON: Je dois avoir envoyé par erreur le texte INCOMPLET.
C’est vrai que le début du roman n’est pas des plus dynamiques ! Mais le fait de savoir vers où on se dirige a permis de laisser la tension s’installer je trouve… On n’a pas peur dès le début mais on SAIT qu’on va avoir peur, du coup j’ai trouvé ça finalement assez efficace.
Désolé, mais comme il ne se passe strictement RIEN les 150 premiéres pages, Cujo m’est tombé des mains! J’ai repris ce texte 3×; toujours pareil! Ceci est mon humble avis de lecteur! Autre petite remarque:
Il existe 1 livre des éditions Le Masque dont le sujet est simillaire à celui de Symmetere, plus cour, donc l’histoire est plus frappante car pas tirée en longueur livre dont j’ai oublié le titre est écrit par un auteur français, et parle également de ce fameux vent dont parle Symmetere de S.King.
A propos de moi, je possédais 30 volumes de la Grande Anthologie de la S.F. que J’ai lus au moins 8× chaque.
J’ai « libérés » une centaine de livres pour qu’ils volent de lectrice en lecteur…
Pas mal des fameuses Noire/ Carré noir…
Trouvaille en poche: 2 romans de Tonny Hillerman; Le génial « La nuit du Jabberwock »
trouvé neuf à prix « Coccinelle ». CE roman est un polar pas trop sombre qui se passe pas tirés loin de Léwis Caroll!!
Le héros, journaliste fait-diversier trouve d’ailleurs sur une table un flacon muni de l’étiquette Bois moi…
29 volumes de la collection » Les grands maîtres du roman policier » des Editions de Saint-Clair; diffusion François de Beauval-dépôt légal: 3e trimestre 1975; achetés d’occasion!
Autre livres de Frédéric Brown que je conseillerais La fille de nulle part, et pour les ados voir dès 10 ans: Martiens go home!
Un dernier mot, pour conclure: mon père m’a payé ma 1e carte de lecteur à l’âge de 7 ou 8 ans. Dire que près d’un demi-siècle à passé depuis. Merçi de le lire.
Vieux Zède étant mon surnom actuel.
1e utilisation de ce type de service…