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Quand Tristan Lopin nous parle de sa dépendance affective [CRITIQUE]

by Allychachoo
tristan lopin spectacle

Le 16 décembre dernier, nous avons eu la chance avec Julien d’être invités à découvrir le spectacle de Tristan Lopin à l’Aria à Cornebarrieu, Dépendance affective. L’occasion de voir ce que donnait sur scène ce jeune homme que je suis sur YouTube (filez vous abonner à sa chaîne si ce n’est pas déjà fait, il est génial !).

Pour la petite anecdote : j’ai découvert Tristan Lopin via Julien, qui m’a envoyé une vidéo où il se moquait des jeunes parents ^^ (message caché Julien ? Quelquechose à dire :p). Et bien sûr la mythique vidéo “Les vacances entre potes (et leurs enfants)”, que nous avons découvert tous les 2 après une conversation peinture. Oui, du coup le bleu noir, ça nous a pas mal parlé. Donc inutile de vous dire que Tristan Lopin c’est un peu devenu une mascotte pour Culture Déconfiture 😉

Bref, nous voilà donc arrivés à l’Aria, avec Tristan Lopin déjà sur scène qui accueille son public de petits chats (c’est nous ça) avec tchatche et petites piques, histoire de se mettre dans l’ambiance. Ensuite, place au show, mais attention in-ti-mi-ste. Oui, vu que le jeune homme nous parle de sa dépendance affective. Récent célibataire (largué 8 ans plus tôt), à la recherche du prince charmant (riche, mais pas qui a gagné au loto car ça fait vulgaire), paumé entre sa pote dépressive et ceux en couple (les pires = ceux qui ont des enfants, on le sait bien), et avec un pot de Nutella. Et de la musique de Britney Spears, aussi.

tristan lopin affiche dépendance affective

Clairement, j’ai passé un bon moment. Vraiment un bon moment. Avec, peut-être, un poil trop d’identification ^^ Julien vous dira qu’il pensait qu’à part moi, personne ne disait “non mais on en parle ?” 😉 Tristan Lopin nous présente un trentenaire parisien over-connecté, à la culture musicale absolument par-faite. Il croque des situations parfaitement générationnelles, dans lesquelles beaucoup d’entre nous gentil-petit-bobo-de-30-ans-en-pleine-recherche-d’achat-immobilier-et-qui-pondent-des-gosses se reconnaitront. C’est drôle, c’est acéré, c’est piquant, c’est sensible aussi. Les situations s’enchainent parfois un peu rapidement, mais on garde en ligne directrice un sens de l’à-propos parfaitement pensé. J’aime. COQUINA !

Ce spectacle a également été pour nous l’occasion de découvrir la salle de spectacle l’Aria donc, fraichement sortie de terre vu qu’elle a ouvert en septembre dernier. Le lieu est très agréable, nous étions très proche de la scène mais l’acoustique nous a semblé bonne. Nous suivrons donc la programmation de l’Aria avec attention ! Juste un point par contre : afficher en grand le nom de la salle serait le bienvenue… nous avons eu de gros moments de doute avec Julien, jusque devant la porte 😉

Dépendance affective est de retour à la Comédie de Paris à partir du 16 janvier. Et surtout surtout les Toulousains, Tristan Lopin sera de retour très bientôt à Toulouse, rdv le 19 janvier à la Comédie de Toulouse ! Courez-y, vous passerez une bonne soirée et bon, vous rigolerez peut-être un peu de vous même après 😉

Nous avons eu la chance de rencontrer Tristan Lopin pour lui poser quelques questions, on vous en parle très bientôt !

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Le nez dans les bouquins, le cœur dans les musées, les jambes à l'assaut du patrimoine et l'esprit en voyage ! Je partage avec vous mes découvertes culturelles du moment, diverses et variées, sans prise de tête. Éclectisme, je crie ton nom !
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5 comments

Julien 8 janvier 2018 - 18 h 52 min

Je me montrerai plus réservé que toi sur ce spectacle, mais tu sais déjà que les one-man-show en général ce n’est pas ma came. J’ai trouvé Tristan Lopin beaucoup moins pertinent et profond en spectacle que dans ses vidéos dans lesquelles il concilie humour et discours. Son personnage de trentenaire attardé ne m’a pas paru très nouveau, et s’il est peut-être représentatif d’une génération (dont je suis censé faire partie) je ne m’y suis pas souvent retrouvé. Par contre, je suis d’accord, certaines expressions m’ont bien fait penser à toi Charlotte la parigote 😉
Sur ce, je retourne à Muriel Robin et son sketch sur la solitude, que je peux revoir 100 fois sans me lasser !

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Allychachoo 8 janvier 2018 - 19 h 36 min

C’est vrai que ce n’est pas exactement les mêmes sujets qu’abordés dans certaines de ses vidéos, mais disons que le thème de la rupture amoureuse est sûrement plus univers ! Vois-tu, par certains côtés, ça m’a rappelé un fameux week-end… :p :p

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Julien 8 janvier 2018 - 20 h 07 min

“Un fameux week-end” pas faux 😀 aujourd’hui on préfère en rire, mais sur le coup on payait pas de mine… !

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Julien 8 janvier 2018 - 20 h 09 min

Et puis ce qui est acceptable à 20 ans aurait été largement plus pathétique à 30, non ?

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Allychachoo 8 janvier 2018 - 21 h 17 min

Ah je ne sais pas ^^ Mais vu qu’il parle de sa rupture avec son ex 8 ans + tôt, ça colle ^^

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